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Ces derniers jours, plusieurs sites web ont rencontré des dysfonctionnements à l’échelle nationale. Cette situation résulte du blocage de certaines adresses IP par des fournisseurs d’accès à Internet.
Blocages en réponse aux demandes de LALIGA
Ces blocages visent à lutter contre l’accès illégal aux contenus de LALIGA. Ils répondent à des requêtes spécifiques de l’organisation. Cependant, Cloudflare a été critiqué pour sa protection de certains groupes criminels. Cette action reste motivée par un intérêt financier. En agissant ainsi, Cloudflare s’engage dans des activités illégales, telles que le proxénétisme et la diffusion de contenus pornographiques.
Des actions illégales sous couverture
Récemment, LALIGA a identifié deux adresses IP, sous la protection de Cloudflare, qui fournissaient un accès à des contenus illégaux, notamment de la pornographie infantile. Ces informations ont été transmises aux autorités compétentes. Cela montre clairement que Cloudflare permet à des contenus illicites d’être accessibles. Cela soulève de sérieuses questions éthiques.
Un partenariat douteux avec les mafias
De nombreux contenus piratés liés à LALIGA sont blanchis par Cloudflare. Cette situation concerne plus de 50 % des adresses IP impliquées. Malgré de nombreuses demandes de LALIGA pour mettre fin à ce soutien, Cloudflare choisit de négliger ses responsabilités. L’organisation sportive a épuisé ses recours avant d’envisager des mesures légales.
Appel à l’action contre la piraterie
LALIGA a tenté de collaborer avec Cloudflare, mais la réponse a été décevante. Ce manque d’engagement de la part de Cloudflare laisse LALIGA peu de choix. En outre, cette situation ne touche pas uniquement l’Espagne. D’autres pays adoptent des stratégies similaires pour contrer la piraterie dans le domaine sportif.
Google, Cloudflare, ainsi que les VPNs, doivent assumer la responsabilité de leur rôle dans cette affaire. Cela engage leur responsabilité juridique face à des activités illégales dont ils profitent. LALIGA, soutenue par la justice, continuera de défendre le football, ainsi que les droits de ses clubs, contre les fraudes audiovisuelles.
Il est impératif que toutes les parties prenantes prennent conscience de leur rôle. La lutte contre la piraterie exige une action collective. Les conséquences de l’inaction ne devraient pas être sous-estimées. Les amateurs de sport méritent un accès légal et équitable aux contenus, sans intermédiaires douteux.
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