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9 novembre 2024 | 10:06
SIDON, Liban — Après une frappe israélienne, le petit Ali Khalifeh a survécu contre toute attente. Son intervention s’est produite après qu’il est resté enseveli sous les décombres pendant 14 heures. La tragédie a aussi coûté la vie à sa famille entière.
Ali, âgé de deux ans, se retrouve amputé et connecté à un respirateur. Son oncle, Hussein Khalifeh, a déclaré : « Ali est le dernier membre de sa famille encore en vie. »
La frappe, qui a eu lieu le 29 octobre, a frappé Sarafand, à environ 15 kilomètres au sud de Sidon. Elle a détruit un immeuble, causant la mort de 15 personnes, dont plusieurs membres de la famille d’Ali.
Des Moments de Désespoir
Les secouristes ont perdu espoir de retrouver des survivants. Hussein, âgé de 45 ans, a partagé : « Nous pensions qu’Ali avait succombé. »
Pourtant, il a été découvert dans la pelle d’un bulldozer. « Il est apparu après 14 heures dans les décombres. Il était à peine conscient. »
Depuis le 23 septembre, Israël intensifie ses frappes aériennes sur le Liban. Ce conflit s’est étendu au-delà de Gaza, visant désormais le Hezbollah.
Conséquences Psychologiques
Les signes de violence sont visibles à l’hôpital de Sidon. Ali, dans un coma artificiel après l’amputation de sa main droite, a été transféré à Beyrouth pour une chirurgie pré-prothétique.
Hussein a expliqué : « Ali dormait sur le canapé lorsque l’attaque a eu lieu. Nous attendons de le réveiller après ses opérations. »
D’autres membres de la famille luttent également pour leur survie. Sa nièce, Zainab, a été piégée sous les décombres pendant deux heures.
Des Nouvelles Tragiques
Elle a reçu des nouvelles dévastatrices à l’hôpital : « Ses parents, son mari et ses trois enfants n’ont pas survécu. »
Les blessures physiques sont graves, mais les dommages psychologiques sont plus profonds. Zainab a perdu un œil et ne se souvient pas des explosions.
Le docteur Ali Alaa El-Din a déclaré : « Les blessures psychologiques de Zainab sont beaucoup plus profondes que ses blessures physiques. »
La situation reste critique pour Zainab et sa sœur Fatima, également blessée lors de la même attaque. Les deux femmes souffrent de fractures et de lésions pulmonaires.
En conclusion, la guerre continue d’infliger des souffrances incommensurables. Les effets durables de cette violence marquent profondément les survivants.
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