Google s’oppose à la demande des États-Unis de vendre Chrome.

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Agence France-Presse

21 décembre 2024 | 17h24

Google face à de nouveaux défis juridiques

SAN FRANCISCO, États-Unis — Vendredi dernier, Google a répondu à une demande du gouvernement américain. Les autorités souhaitent que l’entreprise se sépare de son navigateur Chrome. Toutefois, Google propose qu’un juge prenne des mesures pour résoudre les préoccupations en matière d’antitrust.

Une ordonnance proposée par Google

Dans un document de 12 pages, Google suggère d’interdire à la société d’exiger un traitement préférentiel pour son logiciel. Cela concerne les applications mobiles populaires comme Chrome, Play et Gemini.

En novembre, le gouvernement américain a demandé au juge de forcer Google à vendre son navigateur largement utilisé. Cette manœuvre fait partie d’une action antitrust majeure. Le ministère de la Justice des États-Unis a insisté pour qu’il y ait une refonte des affaires de Google. Il souhaite interdire les accords permettant à Google d’être le moteur de recherche par défaut sur les smartphones.

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Le procès antitrust en cours

Le procès antitrust s’est intensifié après qu’un juge a déclaré Google monopole. La décision est survenue en août dernier. Le juge Amit Mehta doit maintenant déterminer comment remédier aux actions présumées illégales de l’entreprise.

Google propose que le juge interdise à l’entreprise de tirer parti de la popularité de ses applications. Cela empêcherait les fabricants de dispositifs mobiles de devoir préinstaller son moteur de recherche ou de le désigner comme option par défaut.

Les conséquences d’un éventuel démantèlement

La demande de démembrement de Google représente une transformation significative des régulateurs américains. Ces derniers ont souvent laissé les géants de la technologie à leurs affaires. Cette situation a changé depuis l’échec de démanteler Microsoft il y a vingt ans.

Peu importe la décision finale du juge Mehta, Google va probablement faire appel. Cela pourrait prolonger la procédure pendant plusieurs années. Le mot de la fin pourrait revenir à la Cour suprême des États-Unis.

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La dynamique pourrait aussi changer avec l’élection de Donald Trump. Son administration pourrait remplacer l’équipe actuelle qui gère le département de la Justice.

Les nouveaux responsables pourraient choisir de poursuivre l’affaire ou de la régler. Ils pourraient même abandonner complètement le dossier.

Les accords confidentiels de Google

Le procès a examiné les accords secrets de Google avec des fabricants de smartphones, y compris Apple. Ces accords incluent des paiements considérables pour faire de leur moteur de recherche l’option par défaut. Le juge a constaté que cette situation offrait à Google un accès sans précédent aux données des utilisateurs. Cela lui a permis de devenir le leader mondial dans le secteur des moteurs de recherche.

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