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Un pardon controversé pour les émeutiers
WASHINGTON, États-Unis – Kevin Loftus, un des émeutiers du Capitole, a été libéré après avoir reçu un pardon de la part du nouveau président américain, Donald Trump. À sa sortie de la prison de Philadelphie, il a immédiatement pris la route vers Washington, sans même changer de vêtements.
Loftus a pris la direction de la prison de Washington, qui détient actuellement 15 personnes liées à l’émeute du Capitole survenue le 6 janvier 2021. Il a déclaré à l’AFP qu’il était venu pour « libérer tout le monde ».
L’impact des grâces présidentielles
Donald Trump a, quelques heures après son investiture, accordé des grâces à plus de 1 500 personnes impliquées dans l’assaut du Capitole, y compris à ceux ayant agressé des policiers. Il a qualifié ces individus de « prisonniers politiques » et a ordonné l’abandon de toutes les poursuites en cours contre eux.
Loftus, exposé au froid mordant de ce matin atypiquement glacial, a partagé son expérience d’attente de la promesse de pardon de Trump. Dans sa cellule, il a regardé des vidéos du président signant des décrets, mais sans le son. Il espérait ardemment que son pardon figure parmi eux.
Un soutien pour ceux restés derrière les barreaux
Après la signature des grâces, Loftus a été informé qu’il allait être libéré. Il a ressenti une immense joie à l’annonce de sa libération. À 2 heures du matin, il se trouvait dehors aux côtés d’un autre détenu, William Sarsfield III, également lié à l’émeute.
Sarsfield, condamné pour troubles à l’ordre public, a dit ressentir une forte camaraderie avec les autres détenus. Il a exprimé son désir d’aider ceux qui sont restés en prison à Washington, apportant des vêtements chauds pour faciliter leur réinsertion.
Réactions et opinions divisées
Les grâces de Trump ont suscité des réactions variées. Ses partisans se sont réjouis de ces décisions, tandis que d’autres, y compris des membres du Parti démocrate et des policiers présents ce jour-là, ont exprimé leur indignation.
Certains élus républicains ont critiqué ces grâces, mais la majorité a gardé le silence. Des figures notables comme Enrique Tarrio, ex-leader des Proud Boys, et Stewart Rhodes, chef des Oath Keepers, figurent parmi les libérés. Les deux hommes avaient été condamnés pour conspiration séditieuse.
Rhodes est également apparu devant la prison de Washington, clamant son soutien pour ses compagnons toujours détenus. La tension était palpable alors que des supporters attendaient près de la prison, espérant voir d’autres émeutiers relâchés.
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